Voulant allier son amour pour les chevaux et le thĂšme du Symposium « Sport extrĂȘme, endurance suprĂȘme », le sculpteur sâest inspirĂ© de la toile de Georges Seurat « Le cirque » peinte en 1890, 125 ans avant la rĂ©alisation de celui-ci. Lâoeuvre reprĂ©sente une ballerine qui pivote sur le dos dâun cheval galopant. La singularitĂ© de la scĂšne ne laisse personne indiffĂ©rent. La force de la monture jumelĂ©e Ă la grĂące de la ballerine donnent beaucoup dâamplitude Ă lâoeuvre.
Cirque 125
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